Oui, elle, la victime supposée (berk la formulation), la plaignante ah non, pas de plainte formelle encore (c'est le parquet qui dépose plainte, puisque c'est du pénal, de haut de gamme -- crimes et délits). Sous des plumes (rares) se disant féministe ou d'extrême gauche, on se demande comment elle va, on répète à l'envie qu'elle a été traumatisée, on réclame de la compassion pour elle. Mais... si la présomption d'innocence doit s'appliquer, n'est-ce pas ipso facto nier la victimation ? Et si la présomption de victimation s'impose, n'est-ce pas nier la présomption d'innocence ? Bref, deux beaux concepts totalement incompatibles quand ils se retrouvent liés dans la même histoire. Les termes... Lire la suite