Aller à la recherche

03/11/2012 18:11

Naturellement

Chaque flocon de neige est comme le rêve d'un dieu : fugace, indéchiffrable - mais nous avons perdu la capacité de lire ces silences(@fabricecolin)... Lire la suite

05/11/2012 18:14

Pourquoi relire ?

Cinq mots. Qu'on ne se lassera jamais de relire. Comme si c'était la première fois. À chaque fois. Juste cinq mots.... Lire la suite

07/11/2012 18:18

La fusion des sens

C'est parce que j'ai le nez bouché que je n'ai pas entendu que c'était allumé(@micercle)... Lire la suite

09/11/2012 18:21

Ose !

La boussole est formelle : pour que l'on OSE, il suffit de perdre le Nord(J.-C. Chazelon)... Lire la suite

10/11/2012 18:24

Jusqu'au bout ?

Allons jusqu'au bout de nos erreurs sinon nous ne saurons jamais pourquoi il ne fallait pas les commettre(Bernard Werber)... Lire la suite

Jusqu'au bout !

La vérité de demain se nourrit de l'erreur d'hier(Antoine De Saint-Exupéry via @Grumpfff)... Lire la suite

Hiatus

Le problème avec le monde, c'est que les gens intelligents sont pleins de doutes tandis que les plus stupides sont pleins de confiance(Bukowski)... Lire la suite

Repaire et repère

Lorsque quelqu'un n'a pas de points de repère extérieurs à quoi se référer, le tracé même de sa propre vie perd de sa netteté(Orwell)... Lire la suite

11/11/2012 18:33

Navrance de l'algorithmie

C'est navrant de trouver une solution laide qui marche mieux {qu'une solution élégante}(Bernard Chazelle)... Lire la suite

Vous pouvez reprendre une activité normale

J'ai fini de coller mes post-it de l'été et du début de l'automne. Devraient logiquement suivre quelques articles un peu plus consistants en rapport avec l'actualité[1]. En attendant de les lire, tu peux toujours aller penser chez Grumpfff, te régaler de mots chez Luc ou aller réfléchir avec les chroniques de Laurent. À bientôt. Note [1] et décalés - forcément - à cause du temps qui passe... Lire la suite

24/11/2012 19:50

Ressentir ou penser ? Ou les deux ?

L'art purge, donc. Il évacue les bouffées de violences envahissant l'être humain, lui permet ainsi de supporter la pression de la société. Si la catharsis d'Aristote désigne la transformation de l'émotion en pensée, la monstration d'images de vraie violence engendre le mouvement contraire et la pensée se dissout dans l'émotion. Alain Korkos in Esthétique de la violence - 24 novembre 2012... Lire la suite