Le système Victoria

Après Cendrillon, dans lequel il y a quelques superbes pages qui décrivent bien les mécanismes de trading de la décennie précédente ayant eu les conséquences que l'on sait, j'ai lu, non pas la suite, mais l'opus suivant, Le système Victoria, donc.

Dès le début, on sait que ça va mal finir. OK. On attend donc, tout au long du bouquin, que l'histoire veuille bien avancer. Elle avance, revient en arrière, reprend son élan. Ce n'est qu'après le troisième tiers (héhé), que j'ai enfin eu envie de dévorer le livre.

In fine ? Un livre pas inintéressant quant aux mœurs de la finance (encore...) et du BTP. Mais glauque, très glauque quant à la nature humaine (en doutait-on ?). Avec de jolies pages érotiques, à la limite du porno.

À lire si on a bon moral.