Je sais, ô Maître, que vos multiples occupations ne vous permettent pas de vous abaisser à mon pauvre niveau de béotienne ignare ; cependant, je vous serai éternellement (et plus) reconnaissante si vous aviez la bonté de m'autoriser à poser mes yeux candides sur votre auguste travail et, ainsi, de me permettre d'accéder quelque peu aux miettes de votre connaissance qui est infinie.