Je m'en doutais, mon intime conviction me le disait, je pouvais le croire. N'ayant pas de preuve rationnelle[1] de la chose, je n'apportais que peu de crédit à cette vague idée. Et pourtant, en lisant de-ci ou de-là, j'ai vraiment l'impression[2] que les journalistes, ceux qui sont censés nous tenir au courant des réalités éloignées, géographiquement et sociologiquement, des nôtres, quotidiennes de chaque jour, sont eux aussi obligés de se réfugier hors de leur espace conventionnell de travail ie dans les journaux de la toile, pour délivrer une information la plus éloignée de la communication possible.

Ca me rappelle un temps, dont j'ai peu de souvenir mais qui m'a été longuement narré. Pas vous ?

Question subsidiaire : qui, vraiment, a accès à cette source d'information et non pas uniquement à la com. servie à la grand-messe ?

Notes

[1] cartésienne on est, cartésienne on reste

[2] au sens de l'imprimerie du grand-père Gutenberg, le caractère impressionnant la feuille